Madagascar à travers les yeux d’un Haïtien
Antananarivo la ville colorée !#sommetMada16 #Mondotana pic.twitter.com/OhFAKvcl5F
— Georgio Attino (@AttinoG) November 22, 2016
Apres 22 heures de vol, Haïti-Point-à-Pitre / Point-à-Pitre-Paris / Paris-Antananarivo, j’arrive sur ce bout de terre sans idées préconçues et sans appréhension. Avec le cœur ouvert et la volonté de découvrir un peuple dans son essence, un peuple qui d’après mes premières 24 heures d’observations, vit au rythme du soleil qui se lève, de la pluie qui tombe par gouttelette à travers le hublot sur les ailes de ‘’Air Madagascar’’.
Après le service impeccable offert par Air Madagascar et les 11 heures de vol qui relie Paris et Antananarivo, la capitale Malgache. La deuxième chose qui me frappa est ce tableau à l’aéroport. Une installation de tous les animaux en voie de disparition de Madagascar. Sensibiliser les visiteurs sur l’extinction de certaines espèces et rappeler aux Malgaches l’importance de les protéger dans leur environnement. Une balade dans la ville me rassure sur cette démarche, les rues sont propres et entretenues, la verdure est présente, le lac artificiel Anosy scintille dans une aire de repos bordée d’arbre. Des policiers et des gendarmes parcourent les rues.
Récapitulons, je vais un peu trop vite.
L’avion Air Madagascar atterrit à 6 hrs du matin sur la piste de l’aéroport Antananarivo Ivato. Une superbe descente, je n’ai même pas senti le choc entre les roues et la terre ferme. Les passagers applaudissent moi y compris, je félicite (dans mon cœur) l’équipage pour ce super voyage de onze heures. A l’immigration, tout s’est bien passé, j’ai le visa Malgache. L’aventure se poursuit.
En route pour l’Hotel
Dans le bus vers l’hôtel, je découvre les premières images en temps réel (outre mes nombreuses recherches sur Google image depuis Port-au-Prince étant) un marchand de pain transporte un panier de baguettes, des jeunes font leur jogging, des femmes et des enfants balayent devant leurs portes, des fenêtres s’ouvrent, de la fumée s’élève de certaines maisons, la vie éclos lentement à travers le brouillard.
Je rentre à l’hôtel, un morceau de papier sur la table basse me souhaite la bienvenue (aimable attention). Le petit déjeuner et le bus nous attend en bas. Il y a tout un monde à connaitre et à cristalliser.
A SUIVRE…
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