Un étudiant haïtien à Orléans, chronique 001
J’ai compris que voyager à travers les couloirs du monde peut nous aider à combler des espaces en nous. C’est comme un grenier qu’on remplit de petites vies, de voix, de sourires, d’odeurs, de saveurs. À un moment donné, ils refont surface et construisent ce que nous avons tendance à appeler souvenirs.